dimanche 31 juillet 2011

Siffler en travaillant.

Je repars en vacances cette semaine, mais paradoxalement je compte en faire la semaine la plus chargée niveau travail (étant donné que je serai perdue dans la montagne, sans ordinateur ni Internet pour me perturber constamment).
Au programme, de l'histoire. J'ai jusqu'ici un peu négligé ma spé -à fond début juillet, j'ai laissé tomber d'un coup un bouquin sur la ville au XVIIe siècle, et un livre sur l'histoire de l'Angleterre. Je vais donc me concentrer sur l'Angleterre pour le moment, parce que franchement j'y connais fichtre rien à ce pays.
Ensuite, de la philo, où la matière que je redoute le plus, où je comprends jamais rien, dont la simple lecture me débecte. Mais avec Aristote, ça devrait à peu près le faire.
Et pour finir, du LATIN. Je suis tellement nulle en latin. J'ai passé un an à m'accrocher à cette matière (j'étais en débutant), en sachant qu'en khâgne Ulm, ça n'allait pas être du gâteau. Résultat, pas de latin pendant un mois = oubli total des fondamentaux. Je vais donc tâcher de réviser toutes les réjouissances de la chose, des conjugaisons aux déclinaisons, tout en relisant mes cours de culture antique et les lectures imposées pour la rentrée (avec interrogation la première semaine de septembre sur lesdites lectures...Youpi).
Philo et Latin sont vraiment les deux trucs qui me font le plus baliser. Limite ça me bloque dans la lecture, comme si le simple fait d'y penser me confortait dans l'idée que de toute façon, j'y arriverai jamais pour ça.
Va falloir que je me fasse violence, mais j'imagine que c'est aussi ça, les joies de la prépa. Bon, j'arrête de me plaindre, au fond (tout au fond), ça me plaît bien tout ça.
Je crois.
Il faut bien?

Découvrez la playlist July(3) avec The Kooks


Playlist pour la semaine.

4 commentaires:

  1. Bon courage !
    Brr ! que je suis contente d'avoir arrêté le latin !
    Profite un peu de tes vacances quand même.

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  2. Jusqu'en terminale, mes profs de latin étaient des femmes qui avaient l'air d'arriver tout droit du 16è siècle, et en hypokhâgne.. ralalalala : j'ai eu comme professeur un Apollon, un Adonis, un Ephèbe (bon vs voyez le genre) et j'ai redécouvert les joies des déclinaisons ^^

    Courage pour la philo Justine, je galère aussi, j'espère également avoir un éclair de compréhension (qui ne vient pas !) mais bon, oui, courage!

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  3. Il faut bien dire ce qui est : les profs jouent un rôle déterminant sur le goût (ou le dégoût) qu'on peut avoir pour une matière :P

    (J'ai remarqué depuis quelques temps que je pouvais plus commenter sur ton blog...Est-ce normal^^'?)

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  4. (Je pense que c'est réglé pour le problème du commentaire)

    C'est clair qu'un prof qui pourrait être le petit frère de Jude Law motive plus qu'une prof qui pourrait être la petite soeur du Professeur Ombrage dans Harry Potter ^^

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