samedi 19 novembre 2011

Plus on apprend, plus on ne sait rien.

J'aimerais tellement pouvoir me dédoubler pour avoir le temps de réviser toutes mes matières pour le concours blanc...Parce que là, je ne vois vraiment pas comment je peux faire.
Sur mon bureau, c'est le chantier, et dans ma tête aussi.



So...wait and see.

samedi 12 novembre 2011

Si novembre tonne, l'année sera bonne.

Après une semaine affreuse, déprimante, maussade, démotivante, tout ce que vous voulez, cette semaine s'est étrangement...bien passée. Une khôlle a peu près réussie, une version de latin pas trop mal réussie, un DS sans trop de dommages collatéraux.
Je suis toujours sciée par ces brusques changements d'humeurs. Aussi fluctuants et variables que la météo.
Là tout de suite j'ai l'impression d'avoir pris une sorte de recul par rapport à la prépa. Par rapport à la semaine du moins, où j'avais l'impression que le monde allait s'écrouler sous mes pieds à la moindre défaillance, et où tout me semblait si impossible à accomplir.
Je commence à réaliser à quel point la prépa n'est qu'un monde, un univers particulier, une véritable sphère coupée de la réalité. Ce n'est qu'une phase transitoire, un lieu de passage, ce n'est pas la vraie vie.
Oui bon, j'ai l'air de débarquer un peu là.
Cette sorte de prise de conscience me donne assez de recul pour me dire que ce n'est pas grave au fond, que je dois arrêter de me prendre la tête pour des détails. OK je bosse à mort, tout le temps, partout, OK je fais quelques sacrifices, OK l'exigence est extrêmement élevée, mais...bon, il faut bien jouer le jeu.
Il paraît qu'il y a une vie après la prépa.
Je commence à croire que c'est effectivement vrai.




Un peu de bonne humeur!

dimanche 6 novembre 2011

"Je reviendrai sûrement blessé comme un corps cassé"...

Hier, en rentrant de mes 6h de DS hebdomadaires, j'étais complètement brisée. Physiquement, j'entends. J'avais mal aux dos, aux épaules, aux bras, tous mes muscles étaient endoloris; pour un peu j'avais l'impression de revenir du champ de bataille. Ou d'un stage militaire intensif. Bref, j'étais cassée. Et même après m'être soignée j'ai toujours mal partout. Et franchement, je me sens un peu ridicule d'avoir autant de douleurs musculaires, d'être aussi raide qu'un bout de bois alors que je n'ai pas fait le moindre effort physique. Je trouve ça dingue de choper des tendinites ou des crampes très douloureuses à force d'écrire, de taper sur un clavier ou de se pencher sur sa version de latin. C'est ridicule et c'est injuste. Car dans l'hypothèse même où j'aurais un peu de temps pour me bouger, faire un peu de sport, mon corps n'en serait absolument pas capable. Je ne pense qu'à être immobile, allongée, avachie dans un canapé. O cercle vicieux.
Et pour en rajouter une couche, j'ai une grosse angine qui ne veut pas passer. Et il pleut tous les jours. Mais bon. J'ai encore un peu de motivation (tout au fond, si on cherche bien), d'autant plus que j'ai assez bien travaillé mon latin ce matin. Mais la liste de trucs à faire est encore longue, et la semaine prochaine s'annonce tout simplement...nulle.
Je ne sais même pas quelle musique écouter pour me redonner vraiment la pêche (c'est dire...).