lundi 28 février 2011

Les vraies vacances se passent à la BU!

Un DM de géo. Un DM d'anglais. Une khôlle d'histoire. Des listes de vocabulaire, encore et toujours. Des dizaines de livres à lire. A ficher.
Bienvenue en vacances!
Je plaisante. J'ai déjà prévu de passer plusieurs journées à la bibliothèque; car pendant ces deux longues semaines, la lutte contre mon ennemie jurée (j'ai nommé...La FLEMME) va être plus rude que jamais. Un combat sans-merci qu'il va falloir mener de front si je ne veux pas encore procrastiner pendant toutes les vacances (expérience vécue à Noël, le résultat à la rentrée fut très, très peu convaincant).

Affaire à suivre.

mardi 22 février 2011

Histoire mon amour.

Réciter son cours tout en gardant le contrôle sur sa toux -et veiller par-là même à ne pas recracher ses poumons sur le bureau du professeur, c'est tout un art.
Et maintenant, dernière ligne droite avant la dissertation d'histoire de 6h de samedi. Alors on serre les dents, on avale 2L de sirop aromatisé à la sève de sapin et, accompagnée de mes fidèles amis les mouchoirs, j'y retourne vaillamment!

dimanche 20 février 2011

J'ai tout gagné...



Il faut croire que la chance n'est pas vraiment de mon côté ces derniers temps : il se trouve que depuis hier, je suis complètement MALADE.
C'est con quand même.
Bon, je me dis que c'est la fatalité, et qu'une puissance supérieure met tout en oeuvre pour que je ne travaille pas l'histoire.
Alors...Tant pis pour cette fois!

vendredi 18 février 2011

L'hypokhâgne ou la sacralisation du week-end.

Oui je sais, le week-end est TOUJOURS un moment sacré, attendu bien souvent avec la plus grande impatience, et ce où que l'on soit dans la vaste et grande échelle de la scolarité.
Mais là, nous sommes vendredi soir, il est 19h00, et mon DS de philo de demain matin a été annulé.
Alors il est grand temps de danser la polka ou de faire des roues dans le jardin (ou mieux, d'entamer la pile de DVD qui moisit sur le bureau en mangeant des gâteaux).
C'est bête, mais la seule perspective d'avoir tout mon week-end (ce qui arrive de temps de temps quand même) me met dans une joie ineffable -sûrement la perspective de me reposer un peu avant ma khôlle d'histoire, que je redoute tellement que j'aimerais déjà m'enterrer six pieds sous terre (ou mieux, prendre un aller-simple pour l'Alaska).
Juste quelques heures où la priorité n'est pas de savoir comment le Saint Siège a affirmé sa primauté face aux pouvoirs laïques du XIIIème siècle.
La perspective de dormir un petit peu plus demain. D'avoir la matinée tranquille pour travailler.
Un long week-end se savoure lentement.
Profitez-bien du vôtre!

mardi 15 février 2011

Juste envie d'être en...

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dimanche 13 février 2011

Ce qui donne au romancier le sentiment de l'échec, c'est l'immensité de sa prétention (Mauriac).

Je ne comprends pas que l'on puisse, en hypokhâgne, pleurer toutes les larmes de son corps, jusqu'à devoir sortir de cours, parce qu'on a seulement obtenu 11 à la dissertation de philo.
Et pourtant, c'est ce qu'a fait une fille de ma classe.
11.
Une quasi-majoration.
La fille en question déclarait ensuite être en "échec total en philosophie", et qu'elle se "noyait complètement".
Je crois (pure hypothèse de ma part) que cette fille était vraiment, vraiment très douée au lycée -elle l'est encore, elle fait partie de ses élèves extrêmement cultivés dont chaque intervention vous fait presque lever les yeux au ciel; elle devait donc avoir l'habitude des notes excellentes, des appréciations excellentes, d'être excellente tout simplement, et d'en avoir parfaitement conscience. Arrivée en prépa, badaboum, sa moyenne annuelle de 19 en philo fingers in the noz descend brutalement à ...11.
Je ne sais pas si cette hypothèse est la bonne. Je ne sais pas si cette attitude est vraiment normale. Ce serait peut-être la preuve qu'être excellent au lycée n'est pas toujours la condition de la réussite "morale" de la prépa, et que mêmes les plus doués peuvent "mal" vivre cette transition.

Cette réflexion du dimanche matin est un peu floue, je l'avoue, mais j'avais envie de la poser. Je crois que cet exemple est tout de même à méditer.